DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

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DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

jeudi 9 juin 2011

5424. DE L'USAGE DU CERVEAU ET DES OBSERVATIONS QU'ON PEUT EN TIRER. ETHNOLOGIE. UNE DE NOS GRANDES PENSEUSES FAIT UNE CRISE.

LE COUPLE À LA MODE

LE DÉPUTÉ AMIR KHADIR DE QUÉBEC SOLIDAIRE ET LE MAIRE DU PLATEAU-MONT-ROYAL, LUC FERRANDEZ

[L’amie de Celine Dion nous parle.]

[Madame Bombardier se rappelle des moments où elle avait, jadis, des troubles pré-menstruels –ce qui rend les femmes hystériques et permet de diminuer la population des enfants inutiles et des hommes surnuméraires- crises mystiques qu’elle a remplacés intellectuellement par des transes dactylographiques. La maniaco-dépressive du clavier.]

Denise Bombardier

4 juin 2011
Québec
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/324744/le-couple-a-la-mode

Ils doivent tous les deux leur carrière politique aux résidants du Plateau-Mont-Royal.

Ils sont les porte-voix de branchouillés, de révoltés à la petite semaine et de rêveurs qui, sous couvert de progrès, nous ramèneraient à ce monde folklorique et doctrinaire du Québec d'antan.
[Monsieur Charest n’est pas un rêveur. Il sait où se trouve l’$ et qui le possède et comment se pencher ou ramper pour l’avoir. Monsieur Bouchard, ex-premier ministre sait aussi où l’$ se trouve et qui l’a. Aucune de ces personnes ne rêve. Ce sont des gens réalistes qui savent où est leur place. Et celle des autres.]

Le député Amir Khadir de Québec solidaire et le maire du Plateau-Mont-Royal, Luc Ferrandez, sont des réactionnaires drapés des habits rouges que n'aurait pas reniés Mao Zedong.

Ils incarnent les aspirations des gueulards de tous genres, des Québécois devenus les champions du NON systématique, des nostalgiques du Québec en carrioles et des phobiques de la modernité.

[On croirait entendre les libertariens, Mario Dumont. Les amis de la «libre entreprise». Et des «libres entrepremeurs».]

Amir Khadir, héritier de la grande bourgeoisie cultivée de l'Iran, est indiscutablement le plus redoutable des deux.

Grâce à son intelligence trempée dans l'acier, à sa connaissance des failles et des faiblesses des Québécois, il fonce là où les autres reculent ou hésitent et il pourfend sans état d'âme et sans remords avec ses armes préférées bien affûtées, à savoir sa dialectique implacable et son recours systématique à l'injure.

[Monsieur Khadir serait héritier d’André Arthur ? Quelle sinistre engeance! Monsieur le phoque ou l’éléphant de mer qui vient de prendre une retraite forcée après une génération à la radio à insulter les assistés sociaux et les chômeurs plus quelques années de fauteuils de députés «indépendants» et de chauffeur d’autobus (activité qu’il a tout le loisir de continuer maintenant que les difficultés de la vie politique ne l’accablent plus. N’oublions pas Gilles Proulx et ses enfants plus ou moins légitimes de la radio vidange de Québec: ceux qui recommandent d’écraser les cyclistes et les chaises roulantes.]

Il pratique la démagogie en bousculant ses «ennemis de classe», les «puissants», les «riches» et les «fourbes»,

ce qui inclut à ses yeux une grande partie de ceux qui contribuent de nos jours au développement du Québec.

[Les »créateurs de richesse» et leurs bedeaux. Comme monsieur Bouchard toujours prêt à vendre le droit de propriété des autres pour un plat de lentilles. ]

On croit qu'il dit tout haut ce que le pauvre Québécois exploité pense tout bas, mais en fait, c'est un homme de non-dit qui a compris qu'en dénonçant les Lucien Bouchard, les Jean Charest, les Pauline Marois et autres «adversaires du peuple»,

il construit le socle sur lequel des gens sincères ou aveuglés sont en train de sculpter sa statue de commandeur d'un nouvel ordre social et moral.

Il peine parfois à jouer les règles de l'institution qu'est l'Assemblée nationale et sa passion raisonnante lui joue parfois des tours.

Il pratique aussi un moralisme sélectif choisissant de boycotter un magasin de son arrondissement qui vend des chaussures confectionnées en Israël, mais se garde une petite gêne devant la motion de l'Assemblée nationale sur la mort de Ben Laden.

[Il me semble que, comme quelques autres, il ne croit pas un mot de la saga Ben Laden qui aurait fait sauter quelques avions et édifices de l’empire. Ben Laden est une créature de l’empire crée et engagée pour accomplir des plans mystérieux. En attaquant l’empire sur son sol (ou en ne niant pas une telle action glorieuse mais ne ne la revendiquant pas clairement non plus, laissant planer un doute poétique), il lui donnait le prétexte rêvé de retrouver son prestige de la Guerre Froide et de contre-attaquer dans le monde entier partout où se cachent ses ennemis réels et imaginaires. Il est à remarquer que ce supposé ennemi irréconciliable de l’Occident et d’Israël n’a jamais attaqué Israël mais s’est surtout consacré à faire sauter des musulmans. Ce qui est très curieux. Pour les gens curieux, bien entendu.]

En fait, il fait la pluie et le beau temps et son avenir politique est probablement le seul à être ensoleillé.

Ses compagnons de route de Québec solidaire n'osent pas le critiquer publiquement, mais c'est un secret de Polichinelle que son comportement à l'endroit de l'âme de Québec solidaire, [?] Françoise David, relève plutôt du machisme que de sa vision théorique de l'égalité des sexes où la burqa n'est pas exclue.

[On oubliait l’incident d’il y a quelque années où madame David, sans doute fatiguée du gouvernement à 2 tête de «son» parti (qui faisait quelques temps avant si bien comme nouveauté politique) sans doute prenant soudainement conscience de son statut d’âme du parti affirma probablement un peu vite que les militants ne comprenaient plus une telle complexité et qu’il valait mieux en revenir à une forme de simplicité volontaire gouvernementale plus classique par exemple: elle, à la tête du parti. Il y eut un froid. Ce qui permit de mesurer les forces de chacun et les appuis. Et d’oublier le sujet. Quelques temps après, monsieur Khadir devint député ce qui simplifia le questionnement (se poser au moins une question lorsqu’on est intello). On en revint donc à l’innovation du parti à 2 têtes. Si, un jour, leur parti prend le pouvoir (à voir l’incompétence assumée de l’ADQ et du PQ, les questionnements existentiels de monsieur Legault, lui-aussi, co-chef d’un parti (étrange coïncidence) imaginaire, sans statut, ni membres mais que les journalistes qui s’ennuient proposent comme alternative au PQ et la crapulasserie assumée du Parti Libéral, on peut se demander ce que serait l'effet d'enfin ouvrir les portes et les fenêtres de la porcherie.) on verra combien de temps durera ce gouvernement à 2 têtes.]

[ET VOILÀ LE TOUR DE MONSIEUR LUC FERRANDEZ]

Luc Ferrandez, le maire du Plateau-Mont-Royal, est, lui, l'homme qui n'arrête pas le progrès.

D'après lui, le progrès se confond avec la chasse aux voitures car il a une vision autophobe de la ville.

C'est un passéiste, un nostalgique de l'ancien temps qui déploie ses ardeurs en voulant transformer l'arrondissement le plus mythifié de Montréal en un village de Gaulois irrédentistes.

C'est un rural urbanisé, un croisé qui tête baissée fonce sans se soucier des dommages collatéraux.

Il a un jour remballé des petits vieux de son arrondissement qui protestaient contre le réaménagement en un espace vert d'un parking leur permettant de stationner à proximité de leur centre culturel.

Mais Luc Ferrandez, roi de la bécane, se fiche des personnes âgées pour qui la bicyclette est un sport qui peut être mortel.

[L’auto aussi.]

Nos deux lascars en mènent large et donnent à penser qu'ils sont les seuls à travailler pour le bien public.

[Messieurs Charest et Bouchard travaillent évidamment pour le bien public. De même madame Marois. ]

Des bonnes âmes les appuient sans réserve comme si leurs intentions étaient pures, pures, pures.

Mais il faut être naïf pour croire que ces deux-là sont dépourvus d'ambition, de cette ambition de pouvoir qu'ils reprochent à leurs adversaires.

[Ni messieurs Charest et Harper n’ont d’ambition politique. Encore moins celle d’avoir du pouvoir sur les autres. Ce sont des serviteurs de peuple qui ne demandent qu’à être utile. On les remerciera donc. ]

En fait, comme les fous du roi, ils ont un rôle non négligeable, mais à condition que l'on soit conscient du danger qu'ils représentent s'ils n'étaient pas si minoritaires.

[Et monsieur Charest et Harper dont les partis majoritaires ont le contrôle de leur gouvernement respectif ne sont pas à craindre. Seul un député unique fait trembler.]

Le Québec actuel que délaissent les touristes est une société frappée de paralysie qui peine à s'arrimer à l'économie en évolution.

Tout projet de développement se heurte à un mur de refus:

hier à Montréal le chantier dont le Cirque du Soleil aurait été l'icône,

aujourd'hui l'exploration de nos ressources naturelles,

demain le Plan Nord sans doute. [Et v'la les indiens qui pensent soudainement qu'ils ont leur (s) mot(s) à dire.]

[Est-ce qu’elle parle du projet stupide tant vanté par monsieur Réjean Tremblay de raser quelques quartiers pauvres pour construire un Super Casino (au frais du gouvernement) où les riches de la planète (créateurs de richesse) seraient venus comme des abeilles à la recherche du miel dépenser leur $ honnêtement gagné. Évitant Las Vegas toute proche (par avion) ou les casinos européens presque aussi proches (par avion). Il y avait déjà un super-Casino à Montréal, ancien stade olympique recyclé dans le sport extrême financier(quoique la Bourse soit mieux si on aime les vertiges sensuels.) mais il avait le défaut d’exister, d’être la propriété de l’État et d’être situé loin. Pas si loin. Mais dans une île artificielle (construite à une époque où les normes environnementales étaient plus floues et où on pouvait jeter des débris dans le fleuve jusqu’à ce qu’émerge du terrain à bâtir (ce que faisait le Koweit avant de faire faillite) qui obligeait à prendre son auto pour le voyage. Et de braver les intempéries au risque de faire périr ses chaussures à $ 500. Le problème dramatique étant que les touristes devaient loger en ville et voyager jusqu’à l’île. Et les congressistes devaient prendre un taxi et parler à des immigrants. Il fallait donc reloger le Casino en ville avec une salle de congrès, un hôtel de luxe (ce qui éviterait de marcher) et une salle de spectacle où logerait le Cirque du Soleil que l’on présenta dès départ comme associé au projet alors qu’il n’était que conseiller (rémunéré) et utilisateur (subventionné) des futurs édifices. Ce serait la princesse qui paierait tous ces beaux immeubles. Les journalistes émerveillés devant un si beau futur ne cessait de décrire leur émerveillement. On aurait cru une horde de vieux messieurs en imperméable devant la cour de récréation d’une maternelle. On parlait sans cesse d’un projet de $ 1 milliard. Sans préciser d’où viendrait l’investissement laissant croire que les milliardaires propriétaires du Cirque du Soleil le construirait à leurs frais. Jusqu’à ce que quelqu’un se réveille et se demande combien coûterait vraiment ce rêve pour riches. Et qui claquerait vraiment son fric? On ne parla pas des bordels indispensables à l’épanouissement de cette clientèle qui aime prendre ses aises. Quoi de mieux que le vagin accueillant des filles du peuple. Le rêve mouillé se termina comme d’habitude dans des draps froids et humides. On oublia le tout. Sauf de temps en temps (comme ici) où on rappellera l’immobilisme québécois (méchant peuple) qui l’a privé (lui et ses élites) (surtout les élites car ce le futur centre de loisir spirituel n’était pas n’importe qui ).. De quoi au juste?. Comme un vieillard nostalgique qui regarde son album de finissant, lorsqu’il était jeune et un peu fou, on repasse en boucle le couplet sur le 1 milliard d’«investissement» qui nous a échappé. À beau mentir qui vient de loin. Et c’est encore plus facile si on habite tout proche. N’oublions pas qu’à ce moment, l’État était encore en récession. Habitude économique récurrente lorsque les grands de ce monde jouent au plus beau Casino du monde, la Bourse. D’un côté, on ne cessait de dire que l’État n’avait plus une cenne (imploration qui revient souvent) et qu’il fallait couper les dépensiers (et leurs épouses) et de l’autre on ne cessait de lui réclamer du fric. Tous les gens biens étaient pour ce «projet» et ce sont les gens de peu qui l’on fait cafouiller. Épargnant ainsi $ 1 milliard et plus à l’État. Depuis ce temps, le gens biens insultent les révolutionnaires qui ont privé la société d’une telle nouveauté. Et on a, parfois, quelques sanglots en pensant aux emplois dont on a privé les pauvres qui en ont pourtant si tant besoin. Les quartiers pauvres qui auraient été rasés auraient permis de faire de la rénovation urbaine à peu de frais. Tant qu’à y être. Et les plus vaillants des indigents auraient trouvé une job au Casino. On reprochera donc aux doctrinaires qui ont fait avorter ce bel enfant joufflu née d’une vache clônée boostée aux hormones d’avoir nuit aux possibilités d’emplois des classes laborieuses. Le taux de chômage étant bien sûr de leur faute.]

[«l'exploration de nos ressources naturelles». Qu’est-ce qui fait que la chanson qui me résonne dans la tête s’appelle gaz de roche. Où on pollue dans la joie en dansant dans l’eau potable. En pissant dedans! Autre manière subtile (pas pour tous) de presser le citron (les pressés apprécient moins.) Afin qu'au bout du robinet les profits profitent aux riches.]

Pendant ce temps, les industries des technologies nouvelles regardent ailleurs et la ville de Montréal stagne, donc périclite.

C'est lorsqu'on ne sait plus à quels saints se vouer qu'on applaudit aux exploits verbaux d'un Amir Khadir en voie de béatification et d'un Luc Ferrandez qui s'imagine peut-être que la marche à pied, voire le jogging sont les mamelles du commerce.

Il est faux, archifaux de croire que ces deux hommes politiques et leurs partisans sont les défenseurs du peuple.

[Madame sait ce qu'est le peuple, le petit peuple, elle essaie donc de le détourner de ces fatales illusions. ]

Une chose est certaine, ils en sont à ce jour les plus grands bénéficiaires.

[Sous-texe. Bénéficiaire de quoi? Du peuple? De son exploitation. De ses illusions. Eux mais non les grands parasites sociaux mafieux qui nous dirigent et commandent à nos marionnettes municipales et provinciales. Sans compter tous les théologiens de la Libre Entreprises qui nous disent que ceci est bon. Et que si ça fait mal, parfois, il suffit de se pencher un peu plus et, après tout, ce n'est qu'un mauvais moment à passer. ]

Quelle injustice pour tous ceux qui dans l'ombre travaillent pour le Québec tout entier!